Partie 5 : Rester motivé jusqu’au bout
Il va de soi, que même avec un plan bien défini et une connaissance claire de vos motivations, vous aurez parfois des baisses d’énergie pendant la quête de votre objectif.
La fatigue, le découragement, le manque de temps, d’argent peuvent devenir des excuses imparables pour stopper votre avancée. Or, vous le savez, atteindre votre objectif signifie beaucoup pour vous.
« Le bonheur ce n’est ni l’amour, ni la richesse, ni le pouvoir. Le bonheur, c’est la poursuite d’objectifs réalisables »
Helen Fielding
Alors, pour éviter de capituler, pensez à renouveler autant que possible et chaque fois que nécessaire, un exercice de visualisation positive du même type que celui proposé dans la Partie 1.
Fermez les yeux, mettez vous à l’aise et visualisez …(accès restreint)
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Partie 4 : Etablir un plan d’action
A ce stade, vous connaissez quels sont vos objectifs principaux à atteindre. Vous savez de plus, pour quelles raisons est-ce si important pour vous de les réussir.
Dans cette quatrième partie, maintenant que le « pourquoi » est clair à vos yeux, nous allons donc enfin pouvoir aborder le « comment ».
“L’escalier le plus long commence toujours par une simple marche.”
Notez votre premier objectif sur une feuille de papier, en restant attentif à ce que les règles abordées dans la Partie 2 aient été bien respectées. Plus particulièrement, vous devez vérifier que la date à laquelle vous souhaitez que l’objectif soit atteint a bien été fixée de manière très précise. Si ce n’est déjà fait, efforcez vous de situer votre réussite au mois, au jour, voire à l’heure près si possible. « Le 16 novembre à 18h00, j’aurais terminé avec succès ma formation».
Maintenant que le cap est fixé avec précision, vous devez prévoir le trajet. Vous allez donc créer un plan d’actions à entreprendre pour parvenir à réaliser votre objectif à la date souhaitée. En d’autres termes, vous devez …(accès restreint)
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Connaitre ses motivations
Pour réaliser cette étape, il est nécessaire que vous ayez sous les yeux la liste que vous avez réalisés lors de la Partie 2. Prenez le temps de l’analyser à nouveau. Vous allez devoir choisir au sein de cette liste, quatre objectifs majeurs que vous souhaitez atteindre dans l’année. Sélectionnez ceux qui vous paraissent les plus importants, qui vous apporteront le plus de joie et de satisfaction une fois réalisés (donc, dans douze mois ou avant). Il faut que ce soient des objectifs pour lesquels vous souhaitez vraiment vous engager.
Une fois ces 4 buts choisis, notez les sur une feuille en laissant …. (accès restreint)
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Selon une étude présentée à Brighton (Angleterre), les employés qui entretiennent une relation franche avec leurs supérieurs, autrement dit qui s’autorisent la critique, sont plus heureux, en bonne santé et moins stressés.
En effet, selon Emma Donaldson-Feilder, membre de l’équipe de chercheurs, la franchise est un excellent moyen d’évacuer le stress et la tension ressentie au travail. Les personnes qui s’expriment face à leurs supérieurs sont donc moins nerveuses et moins sujettes au débordement.
L’entreprise elle-même se retrouve gagnante, puisque le stress et ses conséquences physiologiques et psychologiques sont une cause significative de congés maladies. Plus de franchise, donc moins de tension, moins d’absentéisme et donc moins de stress et de travail pour l’ensemble des équipes.
De plus, ce type de fonctionnement est aussi positif pour les cadres supérieurs. Lors de l’enquête, deux groupes d’environ 75 managers furent créés, l’un recevant des commentaires de ses employés et l’autre non. Il en ressort que les cadres du premier groupe furent plus enclins à adapter leur style de management et qu’ils furent par conséquent perçus comme plus efficaces par leurs employés.
C’est beau n’est-ce-pas ? Après, il semble évident que dans la pratique, il faut savoir y mettre la forme. Critiquer ouvertement son patron, sans aucune construction ni adaptation, permet certes de déstresser, mais peut aussi conduire à des conséquences plus stressantes encore… La balle semble être davantage dans le camp des sociétés et des dirigeants. En effet, pourquoi ne pas proposer des questionnaires ouverts et anonymes aux employés ? L’affront direct et vexatoire serait ainsi évité, les tensions des employés relâchées et les commentaires les plus intéressants et constructifs retenus pour un meilleur développement de la société. Les entreprises devraient être encouragées à offrir à leurs salariés ce type d’évaluation régulière de leurs supérieurs hiérarchiques, car cette fois-ci c’est prouvé : l’effet n’en sera que bénéfique pour tous.
Dr Virginie Lemaire de Bressy
References :
British Psychological Society (http://www.bps.org.uk/)
