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Bonne année 2013!

VPro Coaching vous souhaite une excellente année 2013

Pour bien commencer cette nouvelle année, voici un joli message porteur d’espoir:
« J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur de l’homme résidaient la bonté et la générosité. Personne ne naît en haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé, ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire. Même aux pires moments de la prison, quand mes camarades et moi étions à bout, j’ai toujours aperçu une lueur d’humanité chez un des gardiens, pendant une seconde peut-être, mais cela suffisait à me rassurer et à me permettre de continuer. La bonté de l’homme est une flamme qu’on peut cacher mais qu’on ne peut jamais éteindre. »
Nelson Mandela (2002).

J’aime à voir le coaching comme un catalyseur de cette flamme : c’est lorsqu’on est en paix avec soi-même que l’on transmet le mieux ces valeurs positives à notre entourage. Contribuer à développer cette idée chez les clients VPro en 2012 a été une belle expérience, j’espère qu’elle sera au moins aussi belle en 2013 !

VPro Coaching vous remercie pour votre soutien et votre engagement tout au long de l’année et vous souhaite à tous beaucoup de bonheur, de santé et de de réussite dans vos projets. Sans oublier quelques beaux défis pour se dépasser !

Parrainez vos proches

Pour les fêtes, bénéficiez des offres de parrainage VPro-Coaching !

Pourquoi vous ?

En tant que client VPro ou personne intéressée par le coaching et la préparation mentale, vous avez conscience de l’importance d’un travail sur soi efficace. Vous êtes donc bien placé pour en parler à votre entourage.

Pourquoi parrainer ?

Vous connaissez les avantages en termes de performance et de bien-être qu’offrent VPro-coaching. Pourquoi ne pas en faire profiter vos proches ? Vos filleuls bénéficieront ainsi d’un véritable coup de pouce dans leur vies professionnelle, privée et sportive. Vous leur permettez ainsi de se lancer dans une belle aventure : la quête d’eux même. En plus, vous gagnez 100 euros pour chaque nouveau client VPro qui vient de votre part (pour tout contrat signé et suivi sur un minimum de 12 séances).

Quels avantages pour vos filleuls ?

Faire le premier le pas n’est pas toujours simple. Grâce à votre parrainage, vos filleuls auront la chance d’avoir quelqu’un pour les accompagner dans cette démarche, pour les encourager et les soutenir dans leur parcours. Ils bénéficieront aussi d’une réduction de 25% sur leur première séance payante.

Peut-être y pensiez-vous déjà pour plusieurs personnes autour de vous ? Alors saisissez l’occasion : profitez de cette offre pour agir et participer à l’épanouissement de vos proches.

VPro Coaching vous remercie pour votre confiance et vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année.
2013 nous attends !

Le stress: Une bonne gestion (Partie 2)

La gestion du stress

Vous l’aurez compris, le mauvais stress affecte notre équilibre et peut avoir des conséquences désastreuses. Mais vous le savez aussi désormais, le mauvais stress peut devenir un bon stress. Il n’est pas une fatalité, vous pouvez apprendre à le gérer efficacement et mieux encore à vous en servir comme d’une force.

L’ensemble des techniques pour dompter son stress s’appelle le « coping ». Autrement dit, c’est l’association de plusieurs stratégies individuelles que chaque personne se crée pour gérer son stress. Point positif : ces stratégies s’apprennent !

Techniques de gestion du stress

Grâce au moyen mnémotechnique vu dans l’article précédent, vous savez qu’il existe deux leviers pour agir sur le stress : la perception de la situation et la perception de nos ressources (Stress = Ressources perçues – Situation perçue).

Plus précisément, il faut :
(1) apprendre à minimiser ou relativiser notre manière d’appréhender une situation comme dangereuse,
(2) augmenter nos ressources réelles et perçues, nécessaires pour régler ce contexte stressant.

Voici quelques exemples de techniques ciblées :

1. Solutions pour modérer sa façon de percevoir la situation comme dangereuse :

  • Il est d’abord important d’identifier les facteurs de stress : une peur floue, mal définie, est une peur qui a davantage de pouvoir. L’imaginaire y trouve sa place et prend un malin plaisir à combler les vides avec des incohérences exagérées. Il faut donc prendre le temps de définir clairement (par oral et par écrit) quelle est la source de votre trouble.
  • Réévaluer la situation stressante (relativiser le danger). Une fois que la source de stress est définie, il faut la replacer dans son contexte réel. Relativiser le danger signifie s’extraire un instant de ses émotions pour évaluer objectivement la situation. Quelques questions peuvent vous y aider : « Sur une échelle de 0 à 10, à quel point j’estime les chances que ces inquiétudes se réalisent ? » « Ai-je une emprise quelconque sur ce problème ? », « En quoi mon inquiétude peut-elle m’aider à trouver une solution ? »
  • Transformer les problèmes en défis : apprendre à aimer son stress et à s’en faire un allié, capable de mobiliser toutes les ressources nécessaires pour réussir. Considérer les difficultés comme des challenges susceptibles de rendre plus forts.
  • Planifier étapes après étapes un objectif pour le rendre plus réalisable et atteignable. Tout escalier, même immense se monte marche après marche.
  • Connaître le processus de résolution des problèmes : ce processus simple facilite une analyse objective et oriente systématiquement vers la solution. Une fois que vous le connaissez, vous pouvez  l’appliquer systématiquement à votre mode de raisonnement :
    (1) identifier le problème,
    (2) réfléchir à des solutions,
    (3) choisir la solution la mieux adaptée,
    (4) appliquer cette solution,
    (5) évaluer les résultats obtenus,
    (6) résolution du problème sinon… retour à l’étape 1.

2. Solutions pour accroître ses ressources:

  • Parler du problème dès le début à quelqu’un : il faut éviter d’accumuler les ressentis négatifs. De plus, une discussion permet parfois de voir le problème sous un autre angle. Elle peut même apporter des solutions.
  • Se réserver des moments à soi dans la journée pour se faire plaisir : activité ludique, créative… Tout le bien-être accumulé pendant ces moments privilégiés pourra devenir une énergie inestimable pour aider à gérer les moments plus complexes.
  • Faire de l’exercice pour canaliser l’énergie superflue. Tout simplement, si vous évacuez l’énergie superflue accumulée face aux stress de la vie quotidienne, elle évitera de se retourner contre vous et votre santé.
  • Augmenter sa confiance en soi : remplacer les idées négatives par des pensées positives, apprendre à se concentrer davantage sur ses forces que sur ses points à améliorer, expérimenter des « petits » succès, travailler avec un coach sur le sujet, etc.
  • Pratiquer des techniques de respiration, relaxation, méditation, sophrologie, massage : tout ce qui peut vous calmer et vous redonner la pleine possession de vos moyens.
  • Pratiquer la visualisation positive : s’imaginer en train de réussir ou de gérer simplement son stress peut avoir des répercussions très positives sur votre mental. Non seulement, cette technique booste votre confiance en vous donnant de nouvelles pensées encourageantes, mais en plus (si elle est faite de façon suffisamment précise), elle peut stimuler votre imagination dans le bon sens afin de vous apporter de nouvelles solutions.
  • Si possible, combler certaines lacunes perçues : perfectionner ses connaissances et/ou ses compétences dans le domaine en question reste une base logique pour éviter de sur-stresser face à une évaluation ou un jugement potentiel. Dommage pour les étudiants, une bonne gestion du stress n’empêche pas de réviser!

Le mot de la fin, ou plutôt du début d’une vie plus sereine…

Dans notre société en changement perpétuel, la capacité de gestion de son stress est devenue une qualité indispensable pour bien vivre. Pour cela, le plus important c’est de développer sa propre technique de gestion du stress.

Elle sera fonction de sa sensibilité, son histoire, ses envies, ses besoins et ses perceptions de soi et de son environnement. Votre stratégie de coping sera certainement un ensemble des techniques présentées dans cet article et de bien d’autres non citées.

Le tout est de trouver votre propre équilibre, en gardant bien à l’esprit qu’il existe.

Le stress : la maladie du siècle (Partie 1)

Tout le monde a déjà prononcé ce mot : le stress. On le retrouve dans la vie professionnelle, personnelle, sportive… On parle même de mal du siècle. Voici un article pour mieux comprendre ce qu’est ce fameux “stress”.

En route pour les JO!

« Mon travail avec Vpro-coaching m’a aidé à accepter mon handicap
et à augmenter mes performances »
Benjamin Landier

 

Amputé de plus de la moitié de son pied gauche à la suite d’un accident de moto en 2009, à 38 ans, Benjamin Landier, est désormais champion handisport de cyclisme sur route. Il revient du championnat du monde sur piste qui s’est tenu à Los Angeles en février et vise les prochains jeux paralympiques à Londres en septembre. Déjà sportif en tant que valide, il a réussi brillamment sa reconversion dans le handisport. Portrait. Continue reading En route pour les JO!

Lettre d’un entraîneur à sa préparatrice mentale

La préparation mentale aide les sportifs à se surpasser mais elle est aussi un outil de poids pour les entraîneurs. Mikaël Maunier est entraîneur d’une équipe féminine de torball au club de l’A.N.I.C.E.S de Nice. Il a fait appel à Vpro-Coaching pour l’aider à mieux encadrer son équipe. Le torball (prononcer “torballe” comme pour le handball) est un sport de ballon pratiqué principalement par des sportifs déficients visuels (malvoyants ou non-voyants). Il se joue avec deux équipes de trois joueurs. L’objectif est de marquer un but à l’équipe adverse en lançant un ballon sonore uniquement à la main et en le faisant passer sous trois cordes tendues en travers du terrain. L’équipe de Mikaël participait le 18 février dernier à Nice à sa première compétition lors de la phase aller du Championnat de France féminin de Torball. Témoignage d’un entraîneur reconnaissant ! Continue reading Lettre d’un entraîneur à sa préparatrice mentale

Savoir dire non !

 « Non, je ne veux pas  ». « Non, je ne suis pas d’accord avec toi  ». Ce n’est pas toujours facile de contredire et d’aller à l’encontre de son interlocuteur. Que ce soit dans sa vie personnelle ou professionnelle, tout le monde a un jour été amené à affronter ce genre de situations. Par crainte de blesser, de décevoir, par peur de l’autorité, pour éviter la confrontation, certaines personnes ont tendance à ne jamais dire non à leur famille, amis, patron, collègues ou clients. Dire non c’est s’imposer, prendre position et donc risquer de se faire juger. Le regard des autres est parfois difficile à assumer.

S’affirmer

Mais, pour affirmer sa personnalité et être vraiment soi-même, il est pourtant capital de savoir dire « non ». En effet, un refus renforce sa légitimité et sa crédibilité. Exprimer son désaccord, c’est ne pas promettre au-delà de ses capacités et du possible. Il permet, par exemple, de montrer sa maîtrise d’un projet. Dans le cas contraire, les conséquences peuvent être négatives aussi bien pour soi que pour son interlocuteur. Ne pas savoir dire « non » peut alors conduire à une situation délicate, voire conflictuelle.

Savoir faire face

Ne pas s’opposer, ne pas exprimer ses divergences et ne pas faire face à son interlocuteur peut mener à deux réactions distinctes et nocives.

La première, c’est la SOUMISSION. On accepte de faire ce que veut l’interlocuteur même si l’on n’est pas d’accord ou en capacité de le faire. Par exemple, la soumission peut entraîner une surcharge de travail, une forte fatigue et de plus grandes chances de faire des erreurs ou de bâcler son travail avec d’éventuelles conséquences sur l’équipe. Cette façon de réagir donne l’impression de n’être qu’un pion, de se faire marcher sur les pieds et d’être impuissant.

– La deuxième réaction possible est la FUITE, familièrement appelée : la « technique de l’autruche ». «Si je me cache assez longtemps, les difficultés finiront par disparaître toutes seules ». Toute communication est alors rompue. La personne s’isole, rumine et reste bloquée devant le problème rencontré, avec un sentiment d’être incapable de gérer la situation qui peut s’inscrire durablement.

Pour éviter de verser dans ces deux extrêmes, on comprend bien l’importance de savoir exprimer son point de vue efficacement. Un « non » utile et réfléchi peut faire toute la différence et améliorer considérablement sa qualité de vie, celle de son entourage et de son équipe.

Argumenter

Heureusement, pour savoir dire « non », il existe quelques clés faciles à retenir :

– Il faut être précis, dire son refus clairement, avec détermination. “Non, merci, mais je ne suis pas libre”. Eviter les formules ambiguës, du style « ça va être difficile ». L’interlocuteur risque de traduire difficile par possible et possible par oui.

– Ensuite, un désaccord doit être justifié et expliqué. Une seule explication simple et précise suffit très souvent. Nul besoin de tomber dans la surenchère des excuses qui ne ferait qu’atténuer la crédibilité de votre refus. Cette explication courte est essentielle sinon l’interlocuteur risque de se sentir frustrer et de revenir rapidement à la charge.

– Une fois la raison fournie, il est toujours bon de proposer des solutions alternatives afin de laisser une forme de choix. Face à son patron ou à des clients, par exemple, c’est très efficace. « Non, je ne peux pas traiter ce dossier aujourd’hui car j’ai déjà un travail urgent à terminer. Mais j’ai conscience de l’importance de votre demande. Si vous êtes d’accord, demain je serai disponible et je m’en occuperai. » La personne se sent entendue et comprise, elle sera donc plus à même de vous comprendre et de vous entendre en retour.

Un « non » donne plus de poids et de valeur au « oui ». C’est une preuve d’engagement et de maturité. Il ne faut donc pas hésiter et se jeter à l’eau.

Avoir confiance en soi

Et pour se jeter à l’eau, il faut apprendre à se faire confiance. En effet, même si l’on connaît toutes les clés, il faut avoir suffisamment confiance en la légitimité de sa réponse pour les utiliser.

La confiance en soi est un outil essentiel pour arriver à s’affirmer et à s’imposer face à son entourage. Acquérir plus de confiance est un travail de longue haleine qui demande plus d’investissement que la simple lecture d’un article sur le sujet. L’avantage : c’est un élément qui peut s’améliorer efficacement grâce à l’expérience acquise, mais aussi grâce au soutien d’un tiers (amis, famille, coach, psychologue…).

Alors, grâce aux astuces de cet article, commencez dès maintenant à tester votre pouvoir du « non » légitime ! Vous verrez assez rapidement si votre confiance en vous résiste à l’exercice. Si non, vous savez ce qu’il vous reste à travailler ; si oui, bravo ! Attention juste à ne pas trop abuser de ce nouveau pouvoir…